portal informasi 2022

Examination Serious Sam Iv : The Sam Principle

Examination Serious Sam Iv : The Sam Principle
Examination Serious Sam Iv : The Sam Principle

En 2020, pas moins de nine ans depuis un sure Serious Sam three : BFE, l’fantabulous The Talos Principle, un changement de nom et un reboot, voilà enfin Serious Sam 4. Si la qualité de The Talos Principle – précédent jeu de la Croteam – n’a addition à être prouvée, la qualité d’un nouveau Serious Sam faisant suite au très décevant BFE, elle, était loin d’être assurée.





Mais d’abord, pour les quelques-uns du fond qui ne connaîtraient pas Serious Sam, il second’agit d’une ode à la subtilité et à la poésie. Un FPS moins crétin qu’il n’en a 50’air, mettant fifty’accent sur la gestion de foule et la mobilité horizontale. Grossièrement, pour ce Serious Sam iv attendez-vous donc à : des hordes de monstres, des gros flingues, et du mauvais goût de bon aloi.





Nombreux ça fait beaucoup





Serious Sam est un shooter à bestiaire et cette nouvelle itération ne alter rien à ce bon état de fait. On retrouvera donc nos classiques chargeurs à la peau verte, nos cerveaux sur pattes équipés de fusils lasers et autres taureaux surexcités. En addition de tout le roster classique, on accueillera aussi quelques nouveaux venus. Ainsi que de gros rééquilibrages, notamment par rapport au troisième épisode. En résulte un jeu quasiment dépourvu de hitscan, à quelques bonnes exceptions près. Elles laissent le temps au joueur de réagir et l’oblige à jouer avec les lignes vues.





L’ajout de points critiques sur les ennemis vient également dépoussiérer certaines monstruosités du bestiaire en offrant des changements de paradigmes bienvenus. Si ce n’est pas un bouleversement profond pour la philosophie de jeu, c’est un ajout loin d’être mineur. Il sec’intéresse à des aspects importants du jeu : la façon dont on bouge et la façon dont on pose le réticule sur les ennemis.





Test Serious Sam 4 : The Sam Principle
©Devolver Digital, Croteam




Il nous faudra aussi rapidement vous parler des boss, et que dire… Ils ne sont pas très bons. Ils n’ont jamais été très bons dans la série. Et ce n’est clairement pas cet épisode qui relèvera le niveau. Même si ces rencontres ne sont que rarement désagréables, on regrettera tout de même qu’elles ne soient pas summation palpitantes. Au moins le boss concluding, lui, tient encore bien boy rôle, offrant un moment plus mémorable que ses petits confrères.





Artistiquement enfin, le tout ne se mélange pas toujours de façon très élégante. Certains nouveaux arrivants donnent simplement 50’impression de sortir d’un autre jeu. De la même façon, difficile de toujours corréler les lieux visités et leur bestiaire. Pas que cela soit dramatique, mais un léger endeavor pour harmoniser les modèles aurait fait du bien à ce casting un peu trop “réaliste” par endroits, surtout comparé aux premières entrées de la série.





Reboot à deux roues





S’il y a bien un endroit côté gameplay où 50’on sent que le jeu a été reboot, c’est assurément boy degree design. Mais summation précisément encore, les quelques chapitres très ouverts que advise le instant acte du jeu. À moto, en quad ou encore à dos de moissonneuse-batteuse, vous vous retrouverez à devoir traverser champs et prairies. Des étendues vastes, même pour un Serious Sam. De là à y voir des morceaux d’open Earth réarrangés pour convenir à la construction finalement addition linéaire de ce quatrième épisode, il n’y a qu’un pas.





Ces quelques chapitres – 2 ou 3 pas summation – qui font le choix de 50’ouverture s’avèrent néanmoins être de bonnes respirations. On apprécie la liberté relative qu’ils offrent, leurs grands espaces et leur rythme un peu addition posé dans la progression. D’ailleurs ce début de moment acte, en French Republic, surprend par une certaine cohérence des proportions et de la géographie, notamment grâce aux points de repère que sont la ville de Carcassonne, ainsi que le gros vaisseau extraterrestre lévitant au loin. On les aperçoit d’abord à fifty’horizon et plusieurs chapitres après on se retrouve à leurs pieds, donnant une sensation de progression appréciable.





©Devolver Digital, Croteam




Côté visuel cependant, même si les charmes champêtres de Carcassonne s’apprécient et que les ruines grecques de The Talos Principle font encore leur petit effet, difficile pourtant de nier le plus évident : il n’y a rien de bien intéressant à se mettre sous la dent visuellement. 





Surtout si fifty’on begin à venir comparer à des jeux comme Serious Sam 2, qui faisait la function belle à 50’exotisme. On reste finalement sur un jeu dans la lignée de Serious Sam 3 au niveau esthétique, avec ce réalisme un peu étrange et dissonant, ainsi que ce manque d’audace presque obsessionnel dans les décors traversés. Bien que les couleurs semblent ici reprendre un peu de leur vibrance et que le grade pattern s’avère tout à fait efficace combiné au bestiaire bien fourni, on reste encore à regretter les débuts de la licence…





Quand on aime, on ne compte pas





Parce que c’est bien mignon d’avoir de juteux ennemis encore faut-il avoir de quoi engager les négociations ! Sur ce indicate, difficile de faire les fines bouches, non seulement il y a quantité mais aussi qualité. 





Déjà l’entièreté de la balistique a été repensée pour être maintenant “projectile based” avec un superbe effet de balles traçantes. Si fifty’on aurait pu craindre perdre en consistance, il n’en est rien. Non seulement les armes gardent toute la précision arcade que 50’on attend d’elles mais se dotent en summation d’excellents feedbacks. Mention spéciale à leurs animations, on sent indéniablement le temps écoulé depuis Serious Sam iii.





Test Serious Sam 4 : The Sam Principle
©Devolver Digital, Croteam




Entre ces très bonnes sensations, il faudra aussi noter l’ajout de tirs secondaires sur la plupart des armes ainsi que l’arrivée d’un nouveau lanceur de plomb. Sans vous gâcher toutes les nouveautés, sachez qu’elles viennent parfaitement sec’intégrer à fifty’existant.





Certaines armes que 50’on aurait pu croire rendues caduques par la progression, comme le fusil à pompe de base par exemple, garde finalement de fifty’intérêt tout au long du jeu grâce à 50’ajout d’un lance-grenade. Pareillement le choix de transformer l’habituel lance-grenade en un presque mortier est une très bonne idée. Cela le différencie du lance-roquette et lui trouve une niche d’utilization propre.





Dans 50’ensemble, difficile d’avoir à redire sur ce segment, tant on sent 50’endeavour consenti pour offrir un équilibre de jeu excitant. Toutes les armes sont utiles et fun à utiliser, sans pour autant contraindre le joueur à trop de systématisme. Il y a un très agréable équilibre de jeu – en difficulté difficile du moins – entre les trois piliers que sont : le bestiaire, le level pattern et 50’armement.





Test Serious Sam 4 : The Sam Principle
©Devolver Digital, Croteam




Serious Sam four suggest également d’autres nouveautés bienvenues à défaut d’être originales. Une roue des armes qui vous rappellera sans doute un sure reboot de Doom ou encore Wolfenstein. L’idée, la Croteam ne l’a pas inventée, mais elle a compris qu’elle s’intégrait très bien dans leur jeu. Surtout lorsque que fifty’on vient par dessus ajouter la possibilité d’équiper une arme différente dans chaque main. Un ajout divin. Le fait de pouvoir tirer et recharger en courant sec’avère également être une souplesse indispensable, quelque chose qui manquait cruellement au troisième opus. Il réussit même à rendre digestes certaines mauvaises idées de ce dernier. On partait pourtant de loin.





Entre tradition et modernité





Quêtes secondaires, consommables et arbre de compétence. Bien que ces mots puissent vous arracher un long soupir, forcefulness est de constater qu’en jeu… le tout fonctionne à peu près. Même si fifty’arbre de compétence a un gros souci d’équilibrage. La branche “akimbo” étant largement plus intéressante que boy homologue dédiée au corps-à-corps. Il évite généralement les compétences poubelles qui n’ont aucun intérêt autre que statistique et permet fifty’incorporation progressive de mécaniques – qui sont spécifiques à cet épisode pour la plupart. Cela dit, la façon de les obtenir via des caisses à récupérer dans les décors est assez peu pratique. Le jeu aurait gagné à simplement psyche les distribuer à chaque fin de chapitre.





Quant aux missions secondaires, elles offrent souvent des affrontements et récompenses uniques, donnant au passage toujours plus de Serious Sam. Ce n’est pas original pour un sou, mais leur intégration reste efficace.





La gestion des différents consommables pouvant être utilisés à la volée, ajoute une certaine profondeur délectable aux affrontements. La gestion de ceux-ci sur le “long cours” est un facteur stratégique inattendu et rafraîchissant.





“I lost my shoe”





Bien que les deux premiers chapitres laissaient présager du pire. Le scénario enchaînant les interruptions dans le gameplay à grand coup de cinématiques vaseuses. Serious Sam 4 trouve finalement un bespeak d’équilibre après le chapitre four en sec’avérant être une sympathique série Z. La réalisation exécrable viendrait presque la rendre involontairement addition drôle. Comme un immense nanar que 50’on apprécie au money du feu, un air coupable au visage quand on ne rigole pas simplement à ses bonnes mauvaises blagues.





Test Serious Sam 4 : The Sam Principle
©Devolver Digital, Croteam




Cependant, il ne faut se méprendre. Sous cette couche de crasse, se cachent beaucoup d’amour et de maturité. On sentirait presque que The Talos Principle est passé par là. Notamment lors de ce générique de fin presque touchant, qui transpire de fifty’amour sincère que la Croteam semble avoir pour leur joyeuse crétinerie. Peut-être un certain impact pour le studio mind trahit-il ici, mais nous n’avons pas détesté – loin de là – ce que Serious Sam four avait à head raconter. 





La maison brûle mais la maison tient





Le mot a déjà dû vous être passé, mais Serious Sam four n’est pas ce qu’on pourrait appeler un foudre de guerre. Et cela va bien au-delà de la query graphique. Les cinématiques, les nombreux bugs, les soucis d’affichage, fifty’optimisation… Même sans rencontrer de bugs marquants et en restant jouable, difficile de fermer les yeux sur 50’état technique actuel du jeu, le manque évident de finitions qui le caractérise. Même si à 50’heure actuelle la Croteam semble être réactive sur les patchs, il va falloir que cela continue. Le jeu ne pourra en être que meilleur.





Même si certains passeront au-delà, tant le fond du jeu lui est solide et renoue avec la tradition brisée par le troisième épisode. Beaucoup ne pourront pas justifier le bilan technique livré par la Croteam ; surtout au prix affiché, 40€ tout de même.





Toutefois, ne vous y trompez pas, nous avons passé un instant surprenamment bon en compagnie de Serious Sam 4. Simplement, autant que fifty’on vous prévienne. En l’état, on vous le recommande à demi-mots tout de même, peut-être après quelques patchs et des soldes. Pour patienter, il ne vous reste addition qu’à vous plonger dans The Talos Principle. Un jeu que 50’on peut largement vous recommander cette fois-ci.





Serious Sam four est disponible depuis le 24 septembre sur PC, MAC et Stadia.












Advertisement

Iklan Sidebar